La sécheresse est représentée par les craquelures. L’abeille évoque les effets de la pollution due à l’homme. Sans abeille, la pollinisation est remise en question et donc les ressources alimentaires pour l’homme sont problématiques. Le pingouin montre la fonte des banquises. L’eau peinte derrière l’igloo symbolise la remontée du niveau des océans et le risque d’inondation pour l’être humain. Les bouleversements climatiques modifient la circulation atmosphérique à l’origine des nombreuses tempêtes, tornades ou cyclones. Ceci apparaît dans notre fresque avec le nuage gris qui souffle si fort que même le cactus a perdu ses épines ! Il fait si chaud qu’il se coiffe d’un sombrero ! Cette expérience réalisée durant la semaine autrement, juste avant les vacances de printemps, nous a fait pratiquer la technique du pochoir, enseigné la patience et la collaboration. Pour la première fois, nous avons utilisé des pinceaux sur une grande surface de presque 20 m2 . Ce n’était pas facile de peindre debout sur une surface verticale ! Nous avons découvert le mélange des couleurs. En collaboration avec environ 50 élèves de 6°, nous avons emprunté la grande vague à l’artiste japonais HOKUSAÏ et la technique de dripping de Jackson Pollock pour représenter l’écume.
Conclusion : Le résultat fait l’admiration de tous. Nous sommes fiers du résultat. En une semaine, nous avons relevé le défi ! Nous sommes motivés pour en réaliser une autre.